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Création : 31/07/2012 à 06:11 Mise à jour : 24/04/2022 à 16:55

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Retour sur Les Crimes de Grindelwald : à la fois frustrant et prometteur pour la suite !

 
Retour sur Les Crimes de Grindelwald : à la fois frustrant et prometteur pour la suite ! 
 
 
  Un mois après sa sortie, il me fallait revenir sur le dernier film de la saga de J.K.Rowling (le dixième en l'associant à la série des HP). Que faut-il en penser (ou plutôt qu'est-ce que j'en pense) ? [SPOILERS pour ceux qui ne l'ont pas vu.] Ce film a été pour moi une semi-déception. Il faut dire que j'en attendais beaucoup avec tout ce qu'il nous promettait ! Et bien qu'il dispose de nombreuses qualités, ses longueurs et sa narration alambiquée nous perdant un peu entre les personnages et leurs sous-intrigues m'ont un peu perdu par moment. Le fait est qu'il s'agisse aussi d'un épisode de transition, ce qui explique sa façon d'installer tranquillement l'intrigue pour la suite (notamment l'affrontement Dumbledore/Grindelwald et le personnage de Croyance y jouant désormais un rôle central). Le problème, c'est que le film, s'il comporte de belles séquences parfois poétiques, souffre d'un manque d'action qui nous donne l'impression qu'il ne s'y passe pas grand chose. On retrouve ainsi peut-être le principal défaut que je pouvais attribuer à David Yates sur les derniers films HP : sa façon de faire traîner certaines scènes et un suspense parfois inutile (encore plus si on avait lu les livres). J'ai trouvé le premier film des Animaux Fantastiques beaucoup plus réussi sur ce point, et divertissant, dans sa façon d'enchaîner les péripéties sans temps mort et sans nous perdre. Il faut dire que ce premier opus était beaucoup plus nourri en scènes d'action, entre la chasse aux créatures magiques dans New York et l'intrigue de l'Obscurus. Il était en tout cas beaucoup plus prenant que sa suite, en plus de nous faire découvrir un autre endroit du monde des sorciers. Certains lui avaient reproché de ne pas retrouver assez d'éléments de la saga HP. Mais c'est justement ça qui le rendait original et intéressant ! De nouveaux lieux du monde magique, de nouveaux personnages adultes attachants (notamment Jacob et Queenie) et un retour du merveilleux qui nous avait quitté depuis les premiers HP ! Ce premier volet avait ainsi été pour moi une grande satisfaction, ce qui m'avait largement hypé pour cette suite. Et le problème de celle-ci, c'est qu'elle ressemble moins à un film se suffisant à lui-même comme pouvait l'être le premier qu'à un épisode installant l'intrigue pour ses suites. Ce qui le rend d'autant plus frustrant. Et malgré tout, il comporte tout de même de nombreuses qualités dans ses nouveautés, mais pas forcément bien exécutées. Et le principal défaut de ce film tient peut-être en un personnage :
 
- Leta Lestrange, personnage à fort potentiel mais mal introduit et sacrifié
 
  Je recommencerai donc par le principal défaut du film avant de revenir sur ses qualités. Evoqué et rapidement aperçu sur une photo dans le premier film, le personnage de Leta Lestrange (joué par Zoe Kravitz) est le principal gâchis du film. Introduit trop vite, il est vite noyé au milieu des autres personnages et des autres sous-intrigues (en supposant que son histoire constitue l'intrigue principale du film, celle-ci ressemblant plus à une addition de sous-intrigues). Ce qui fait que personnellement, j'ai eu bien du mal à m'attacher à elle avant sa fin tragique. Son histoire a beau être touchante, de ses années difficiles à Poudlard où elle n'avait que Norbert pour ami à son enfance marquée par la mort de son demi-frère (racontées par des flashbacks à la mise en scène très réussie, comme pouvait l'être celui de Rogue dans HP7.2), la révélation de son histoire en fin de film et sa mort dans la scène qui suit laissent un peu indifférent. Peut-être que cela tient aussi à son interprète, mais je pense qu'aussi brillante que soit J.K.Rowling, la gestion de ce personnage souffre d'un réel problème d'écriture. Il aurait sans doute fallu ne pas le tuer dès ce film pour le développer davantage. Dommage, car il y avait du potentiel pour que son histoire nous émeuve davantage. Sans parler de sa relation ambiguë avec Norbert et son frère Thésée qui n'a même pas été abordée...
 
- Norbert Dragonneau et ses animaux, héros et créatures prétextes apportant une touche de légèreté dans une histoire qui l'est beaucoup moins
 
  Ce film comportant de nombreux personnages, autant continuer ma critique en revenant sur ces personnages. Abordons ce qui est censé être le principal de cette nouvelle série de films... mais qui s'avère déjà un peu en retrait dans ce film-ci, même si on le suit toujours et qu'il sert de prétexte pour nous raconter une histoire plus importante : celle du monde des sorciers en cet entre-deux-guerres du XXe siècle, ainsi que celle d'autres personnages tels que Croyance et Dumbledore... Les Animaux fantastiques de Norbert occupent ainsi une place moins importante dans cette suite par rapport au premier. On peut donc déjà en conclure qu'ils sont eux aussi un prétexte pour raconter une histoire faisant quelque part office de prequel à HP, et développant toujours plus l'univers et l'histoire du monde des sorciers. Même si les créatures magiques sont encore présentes et jouent parfois un rôle dans le film (le Niffleur et la créature japonaise s'échappant dans Paris), elles ne constituent déjà plus qu'une attraction apportant une touche de légèreté au film. Ce qui est bienvenu en lui permettant de rester à peu près équilibré entre légèreté et gravité (pour ses scènes plus sombres et matures), cette dernière étant beaucoup plus présente dans ce film, alors que le premier était plus emprunt de légèreté et d'aventure (tout en ayant quelques scènes sombres). Cependant, il faut espérer que Norbert Dragonneau et ses créatures ne vont pas devenir secondaires au fil des films, à mesure que l'intrigue autour de Dumbledore, Croyance, Grindelwald... et sans doute Voldemort se développe ! J'ai plutôt bon espoir pour cela, conservant une certaine confiance en J.K.Rowling qui est capable de conserver cet équilibre entre les aventures de Norbert et l'intrigue faisant office de prequel à HP. Comme je vous l'ai déjà dit, je suis même convaincu que Norbert puisse jouer un rôle plus important que dans ce film pour les suites. En effet, en parallèle de découvrir grâce à lui de nouvelles créatures (et j'espère qu'on en découvrira encore), ses voyages à travers le monde (qui se poursuivront, j'espère aussi) pourraient nous faire retrouver certaines créatures connues. On a déjà retrouvé Fumseck à la fin de ce film (à moins que ce soit un autre phénix, ce dont je doute), ainsi que Nagini. Je parie qu'on retrouvera certainement Aragog par la suite ! Car qui de mieux que Norbert Dragonneau pour confier à Hagrid cette acromentule ? J'espère vraiment que ce sera le cas. Cela donnera ainsi un rôle un peu plus important à Norbert dans le background de la saga HP, et renforcera son utilité en tant que héros de cette saga. Car ce n'est pas sa romance avec Tina (et Leta ?), assez agaçante dans ce film, qui suffira à donner de l'intérêt au personnage.
 
- Jacob et Queenie, couple-phare du premier film déchiré par l'intrigue
 
  Parmi les points forts du premier film que j'avais beaucoup aimé, l'histoire d'amour à la fois touchante et pleine d'humour entre Jacob et Queenie trouve ici un tournant plutôt inattendu. Alors que celle entre Norbert et Tina tourne à l'eau de boudin pour une histoire futile de jalousie, celle entre Jacob et Queenie tourne au drame pour des raisons bien plus intéressantes. Pas tellement au début, où les deux personnages se séparent car Jacob ne souhaite pas se marier contrairement à Queenie, mais bien à la fin où Queenie décide de suivre Grindelwald en son âme et conscience. Plutôt touchant, le personnage de Queenie montre l'étendue de sa fragilité dans ce film. Certains y verront peut-être une naïveté à caractère sexiste. Mais c'est ce qui rend ce personnage intéressant, à la fois touchant et décevant par ses actes. Pour quelqu'un comme moi qui étais tombé sous le charme de son "innocence" rayonnante dans le premier film, je ne peux que constater que le personnage de Queenie est loin d'être parfait, ni un exemple à suivre en tant que femme. Je trouve son écriture intéressante en ce sens. Là où Hollywood s'évertue aujourd'hui à nous dépeindre des femmes fortes, bad ass et prenant les choses en main dans un élan féministe, J.K.Rowling nous présente ici un personnage de femme à l'opposé de cette description : faible, littéralement perdue (lorsqu'elle est à Paris), et facilement manipulable. Comme une enfant quelque part. Mais c'est sans doute pour la faire mieux évoluer, lui faire prendre conscience de ses erreurs par la suite et donner une bonne leçon aux spectateurs, et sans doute aux spectatrices ! Car non, les femmes ne sont pas aussi parfaites qu'on le prétend, comme les hommes. Merci J.K.Rowling de nous le rappeler.
 
- Grindelwald, très bon méchant qu'on a hâte de revoir
 
  Ce qui nous permet d'enchaîner avec la raison de cette séparation entre Jacob et Queenie : Grindelwald ! Comme un symbole qui, ayant attiré Queenie croyant que son allégeance lui permettra d'épouser librement un Moldu (Jacob) lorsque les sorciers n'auront plus à se cacher, arrive finalement à les séparer aussi bien physiquement qu'idéologiquement ! Queenie a ainsi rejoint le camp ennemi sans le savoir, tandis que Jacob est resté du côté de Norbert. Une relation qui prend ainsi de l'ampleur et donne ainsi du sens au combat de Grindelwald, semblant se diriger vers une confrontation entre sorciers et Moldus (à l'écouter). Un méchant prometteur, au charisme fou incarné par Johnny Depp, déjà mieux que Voldemort qui était (à mon sens) une pâle copie de sa description dans les livres. Là où ce dernier devait nous évoquer la crainte (ce qui était tout de même une force malgré tout davantage ressentie dans les livres que dans les films), Grindelwald est un méchant plus intéressant, qui joue d'un certain charme (envers les personnages du film comme les spectateurs) par son charisme, son élégance et son discours de fin qui nous convaincrait presque, tout en nous faisant froid dans le dos. La scène où il fait exécuter une famille entière de Moldus à Paris sans le moindre remords (jusqu'au nourrisson qui tend à nous rappeler Harry Potter) nous donne une idée de sa détermination et de sa dangerosité pour parvenir à ses fins. Convaincu par ses idées ("pour le plus grand bien") et par sa puissance, il parvient à retourner les sorciers contre leurs dirigeants et le secret qui les dissimule. On pourrait ainsi presque lui trouver de la sympathie, si son discours de fin séduisant et plutôt convaincant sur la barbarie et l'arrogance des Moldus menant tout droit vers la Seconde Guerre mondiale ne s'accompagnait pas d'un désir de dominer le monde entier et de tuer pour cela. Bref, un antagoniste très intéressant et brillamment interprété, sans doute pas assez mis en avant dans ce film alors que le titre lui est consacré, mais qu'on aura l'occasion de revoir plus longtemps dans les suites, et qui sera je l'espère bien développé, de sa relation déjà esquissée avec Dumbledore à sa scolarité à Durmstrang, pourquoi pas (ce qui nous permettrait de découvrir une autre école de sorcellerie) !
 
- Poudlard, Dumbledore, Nicolas Flamel, Nagini, Croyance... vers un prequel à HP
 
  Terminons par un dernier point visant à revenir sur les références nombreuses à la saga HP et éléments de l'intrigue qui nous conduisent tout droit vers un prequel de la saga-mère. Pas besoin de point d'interrogation pour cela, cette suite nous le suggère clairement. Déjà en développant un peu plus l'histoire de Dumbledore qui est un personnage-phare de la saga, mais aussi au travers d'un personnage introduit dans ce film, pas tellement mis en avant mais qui le sera par la suite : Nagini. Car qui dit Nagini dit forcément Voldemort, et je suis convaincu qu'on peut du coup s'attendre à retrouver Tom Jedusor par la suite. Sans doute à Poudlard, sa scolarité s'étant déroulée en pleine Seconde Guerre mondiale, qui sera traitée dans les derniers films comme annoncée dans celui-ci (l'affrontement entre Dumbledore et Grindelwald étant prévu en 1945 et devant constituer la fin de cette saga). Et de voir dans quelles circonstances il a rencontré Nagini, si celle-ci a constitué son seul amour, expliquant pourquoi il a souhaité lui aussi prendre l'apparence d'un serpent (en plus de sa fidélité à la maison Serpentard et son idéologie). Mais aussi comment il a acquis ses premiers Horcruxes, appris ses origines, tuer son père et ses grands-parents moldus à Little Hangleton... Bref, que des éléments évoqués dans les livres mais absents des derniers films. Un peu comme a pu l'être l'histoire de Dumbledore. Celui-ci est donc campé par Jude Law dans cette suite, et est encore loin du vieux mage à barbe et à longue robe que l'on retrouve dans la saga HP. Une version (très) rajeunie qui sera amenée à évoluer dans les films suivants (pour coller aux flashbacks d'HP2 et 6 qui colleront à la période de ces films). Un personnage qui a en tout cas encore beaucoup à nous révéler, si on en croit Grindelwald qui nous révèle que Croyance serait un frère caché d'Albus ! Reste à savoir si c'est vrai. On est en droit d'en douter, et pourtant, Dumbledore nous annonce dès sa première scène avec Norbert qu'un phénix est censé revenir dans sa famille... Une révélation finale assez déroutante quand on connaît l'histoire de celle-ci, déchirée bien avant la naissance de Croyance, alors que le père fut envoyé à Azkaban après avoir attaqué les Moldus qui avaient attaqué sa fille, puis la mère morte quelques années après... Cela semble donc assez improbable. Et pourtant... ce film nous a encore prouvé que la saga cinématographique prenait des libertés avec l'histoire des livres, puisqu'on découvre McGonagall déjà professeur à Poudlard alors qu'elle n'est pas censée être encore née à cette époque. Des petits points de fan-service pour ceux qui n'ont pas lu les livres, presque insultants pour ceux qui y tiennent. Personnellement, je peux en faire abstraction (l'âge des acteurs, notamment de Rogue et McGonagall, ne correspondant pas du tout à celui de leur personnage dans les livres, beaucoup plus jeunes), du moment qu'on ne réécrive pas toute l'histoire de certains personnages. Et même si certains éléments de fan-service s'avèrent un peu agaçants (on aurait pu éviter la version la plus classique du thème d'Hedwige de John Williams pour retrouver Poudlard, non ?...), d'autres étaient assez kiffants, j'ai trouvé. Notamment celui de découvrir pour la première fois Nicolas Flamel, personnage que j'ai toujours rêvé de voir depuis HP1. Et je n'ai pas été déçu, celui-ci correspondant assez à la description que je pouvais me faire. Mention spéciale à la scène finale où il vient à la rescousse des héros pour sauver Paris de Grindelwald ! Un personnage que j'espère revoir de temps en temps dans les suites. À part ça, on retrouve quelques objets et lieux emblématiques, comme le ministère de la Magie au début et le Miroir du Rised à Poudlard. On peut imaginer que d'autres références apparaîtront dans les films suivants. Reste à espérer qu'elles seront bien intégrées à l'histoire, comme la scène de l'épouvantard qui a servi à l'intrigue au lieu de n'être qu'une lourde référence à HP3, bien que l'intrigue en question (celle de Leta Lestrange) ait été insuffisante.
 
 
  Pour conclure, je dirais donc que ce film, malgré ses défauts d'écriture et son caractère d'épisode de transition qui introduit davantage la suite de la saga que ne l'a fait le premier film, ne remet pas en question le potentiel de cette nouvelle série de films dans l'univers d'HP, et promet du bon pour la suite ! Que ce soit dans sa façon de se rattacher à la saga HP en développant toujours plus son background au cinéma (et en général), mais aussi son univers en racontant l'histoire du monde des sorciers en parallèle de la nôtre... Bref, que des éléments susceptibles de hisser toujours plus haut cet univers et cette saga dans le c½ur des spectateurs et de ses fans.
 
 
Tags : Critique/analyse, Les Animaux fantastiques
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#Posté le samedi 15 décembre 2018 04:03

Modifié le samedi 15 décembre 2018 09:42

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assassin-maraudeurs, Posté le vendredi 11 janvier 2019 12:49

Belle critique du film ! Très juste !


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